Premières joies de l'autohébergement

Mis à jour le 10/02/2015 — Liens de mes services. Aussi, désormais mon serveur est un serveur dédié servi par OVH.

Ce petit carnet est depuis quelques jours servi directement depuis ma chambre. Je me l’étais promis, cette envie de tâter l’autohébergement s’est montrée et a dominé.

J’ai choisi nginx pour propulser tout ça. Pas simple pas simple (cc fabienwang, et Postblue, que j’ai pas mal embêtés.). Mais une fois assimilé, tout roule.

S’autohéberger se lie intimement aux aspects pratiques. La machine allouée bénéfie alors d’un emplacement dédié et chipoté, d’une configuration cuisinée, et d’un intérêt premier.

Je dois dire que le sentiment est particulièrement agréable, comme si l’on était soudainement un cran au-dessus quant à l’indépendance. Une jolie panoplie de possibilités pratiques, et amusantes (oui, amusantes.) s’ouvre.
Bref, aujourd’hui, parmi les petits plaisirs que je me suis fait, on a : * Owncloud (cloud.schoewilliam.fr).

Il y aussi MPD — dont j’avais déjà parlé — qui me permet d’ailleurs de me passer du dernier service de Google dont je dépendais : Google Play Music. Son intérêt étant qu’il rendait accessible l’entièreté de ma collection musicale de mon ordinateur et mon smartphone. Rôle que remplit parfaitement MPD, en ajoutant en plus cet accès depuis Firefox OS (sur lequel existent déjà des clients).
Résultat : ma musique n’est stockée que sur une machine, et je l’écoute depuis toutes les autres, quelque soit où je me trouve.

Kashyyyk kashyyyk.
Ça fonctionne. Hopli Hoplà.

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Publié par William Dorffer : 11